Sun Râ et des membres de l'orchestre lors d'un tournage aux allures de Congrès Intergalactique, 1972 ©JimNewman
« Si je vous disais que je viens de l’espace, vous n’en croiriez pas un mot. N’est-ce pas ? […] Pourquoi le devriez-vous ? » Sun Ra, Un Noir dans le Cosmos; Aurélien Tchiemessom, page 38.
MISE EN CONTEXTE
Au cours de la Saison IV (2014), lors d’un casting de la « Black Fashion Week » à Tio'hià:ke (Montréal), j’ai rencontré une jeune fille avec laquelle j’ai entretenue une conversation aussi étrange qu’anodine. Une conversation qui s’est métamorphosée en une remise en question des religions dites révélées, en particulier le Christianisme, qui selon elle était un plagiat de la Spiritualité Ancestrale des anciens Égyptiens, à savoir le Culte de Aïssata Set-kem Meri Amen. J’étais très intéressé-e et à la fois intrigué-e parce qu’elle venait de me dire d’autant plus que j’étais dans une quête personnelle afin de savoir pourquoi j’étais un homme-femme. À cette période, je classais les informations qu’elle m’avait dites comme étant des éléments relevant du domaine de la connaissance et de la culture générale ne pouvant pas m’aider à comprendre qui j’étais puisque je les dissociais de la spiritualité. Au courant de la même saison, en écoutant Venus, une chanson de Lady Gaga, j’ai découvert des éléments de réponses inattendus. Je trouvais assez curieux qu’elle compose une mélodie en l’honneur d’une planète, mais venant d’elle rien de surprenant connaissant l’antécédent de ses extravagances vestimentaires et de la composante quelque peu maléfique de ses clips vidéos. J’ai cherché à savoir les raisons de ce titre et figurez-vous que dans mes investigations, j’ai découvert qu’elle s’était inspirée du chanteur Jazzman Afro-futuriste Sun Râ qui prétendait venir de Saturne et qui prêchait une étrange Philosophie Cosmique. C’est à cet instant précis que j’ai eu l’inspiration d’écrire ce que j’ai intitulé des Récits Cosmiques. J’avais décidé de combiner ces écrits avec mes dessins et de créer une page Facebook pour partager mon Art sous le titre de « Eddyshine|Tuxedo Arts ». Cette passion a perduré l’instant d’une saison, la Saison V (2015) parce que les fondements sur lesquelles j’avais porté mon projet étaient erronés. J’étais sous le joug d’une aliénation spirituelle sans même m’en rendre compte et dans une optique de reconnaissance purement égotique. Concernant mon Art, certains de mes dessins n’étaient pas parfaitement aboutis et frôlaient même l’amateurisme. Les Récits Cosmiques qui étaient d’une splendeur poétique et totalement incompréhensible pour la majorité des lecteurs s’agençaient difficilement avec ces dessins. Cette même année, j’avais pris la décision de supprimer entièrement ma page en la vidant de tout son contenu. Je trouvais que ce qui avait été fait n’était pas à la hauteur de mes attentes et que ce travail artistique quelque peu brouillon ne reflétait pas l’immensité de mon talent. Il était essentiel pour moi de me ressourcer et de parfaire mon Art. Ce flou artistique s’expliquait par le fait que certains éléments de ma vie étaient en suspens. En effet, je n’avais pas entamé un processus de Guérison qui m’aurait grandement aidé à faire étinceler mon Art et j’étais encore sous l’emprise d’égrégores étrangers. Cependant, j’étais dans une quête incessante spirituelle, le christianisme dans sa version occidentale ayant échoué à restaurer mon âme, j’ai commencé à m’intéresser à d’autres formes de spiritualité qui au courant de la Saison VI (2016) m’ont fait remettre en question les fondements de l’humanité. Cette nouvelle forme de spiritualité quand bien même m’avait aidé sur de nombreux points laissait planer plus de questions que de réponses. Une période que j’ai intitulé « Les Méandres du New Âge ». À mon retour d’Abidjan, dans le courant de la Saison VII (2017), j’ai constaté qu’un élément avait changé en moi et que des circonstances particulières m’avaient conduit à faire preuve de Prudence et de Discernement afin que de nombreuses vérités me soient dévoilées. Après une minitieuse introspection et une profonde réflexion, le nom Kugaruka m'a été révélé après avoir cherché consciencieusement ce nom dans ma langue maternelle le Kirundi sans pourtant m'attribuer le nom comme je l'ai officiellement annoncé au courant de l'année miroir 2020 et réaffirmé en 2021. Kugaruka est aussi une plateforme dans laquelle mon écriture stylistique se reflète dans la publication de chaque article inséré dans une rubrique consacrée et avec la particularité de s’adresser directement à votre cosmos intétieur afin que vous soyez grandement édifié-e-s.
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VISIONNAIRE COSMIQUE
Sun Râ revêtu d'une tenue vestimentaire originale / colorée et couronné d'un disque solaire que l'on retrouve dans l'icônographie de la déesse kemit Aïssata Set-Kem Meri Amen (Isis), Oakland Collection of John Corbett and Terri Kapsalis
« […] l’une des désagréables conséquences de l’organisation de la société américaine est le résultat d’un insidieux lavage de cerveau dont l’origine remonte au temps de l’esclavage : le servage, accompagné de sa panoplie d’humiliations, de mortifications, d’atteintes à l’intégrité morale et physique, provoque des conduites élusives et régressives chez ceux qui le subissent. Hypocrisie, dissimulation, traîtrise, paresse, infantilisme, irresponsabilité, masochisme et attachement au bourreau sont autant de comportement névrotiques liées à la conditions de prisonnier, d’otage, voire de peuples longtemps colonisés […] Ainsi, l’esclavage a-t-il contribué à détruire l’image de la famille noire, à castrer l’homme noir, à désintégrer les liens affectifs qui rattachent un enfant à sa mère, à créer un complexe d’infériorité et une haine de soi encore tenace chez les Noirs d’aujourd’hui. Cela engendre toute une panoplie de troubles personnels et de conflits intérieurs, avec leur inséparable cortège de problèmes, de tabous et de blocages […] » Sun Ra, Un Noir dans le Cosmos; Aurélien Tchiemessom, page 166 et 176.
À l'instar de Kenneth & Mamie Clark, Frantz Fanon, Frances Cress Welsing, Dr. Joy Angela Degruy, Carter Godwin Woodson – auteur du titre The Mise-Education of the Negro ayant précédé l'unique chef d'oeuvre discographique de la fameuse Lauryn Hill – Sun Râ avait réussi à comprendre les mécanismes et rouages qui ont contribué à la destructuration des Peuples-Nations Kamites ainsi qu'aux traumatismes transgénérationnels qui se sont imprégnés dans notre ADN.
« […] Le problème, pensait-il était que les Noirs américains avaient suivi une mauvaise direction en acceptant sans réfléchir un passé fabriqué spécialement à leur intention. Ce passé minimisait, ignorait ou niait carrément leur plus grandes réussites, qu’elles se trouvent en Égypte, en Éthiopie, au Zimbabwe, dans la Bible ou dans l’histoire du monde en général […] l’Égypte était le royaume de la discipline, de la précision, de la culture, de la beauté et de l’Art : en magnifiant ainsi l’histoire noire, il montrait aux Noirs qu’on se moquait d’eux impunément, qu’on les manipulait, que quelqu’un cherchait à leur cacher une vérité qui n’arrangeait pas tout le monde. » Sun Ra, Un Noir dans le Cosmos; Aurélien Tchiemessom, page 224
Sun Râ avait très tôt pris conscience que notre histoire avait été falsifiée par les Visages Pâles et que nous avions hérité d'un récit trufé de mensonges voulant nous faire croire que notre historique se limitait à l'esclavage et la colonisation. Au même titre que le Grand Cheick Anta Diop, qui a triomphé au colloque du Caire en 1974 en démontrant de façon irréfutable que les anciens égyptiens étaient kamites, Sun Râ répandait un message qui consistait à nous dévoiler la vérité sur la brillante ingéniosité de nos ancêtres à travers son discours, sa musique et sa philosophie cosmique.
« Le message de Sun Ra était d’ordre spirituel et pacifique : il était ici sur Terre pour élever la conscience des humains. En ce sens, toute révolution ou acte violent de rébellion est un acte vain, car contraire à ses principes et à ses idéaux. En bon pacifiste, il s’opposait catégoriquement à toute forme de violence, et par voie de conséquence, la notion de révolution n’avait aucun sens pour lui. En cela, il divergeait radicalement de l’opinion d’un Malcom X, ou des Black Panthers, mais sa méfiance envers la révolution et la violence ne le rapprochait pas pour autant d’un non-violent Martin Luther King, puisque la course à la liberté était à ses yeux une grossière erreur. En résumé, l’ultime aboutissement n’est pas nécessairement la liberté telle qu’on se l’imagine, et le moyen d’y parvenir ne passe ni par la politique, ni par les armes. » Sun Ra, Un Noir dans le Cosmos; Aurélien Tchiemessom, Note 139 à la page 125.
Combien de kamites auraient eu de telles idées/pensées à une époque où la ségrégation raciale nous mettait au banc de la société d'une façon effarante comme à Azania (Afrique du Sud) avec l'Apartheid ? Sun Râ était un Visionnaire comme James Balwin et ils avaient transmis les messages d'entités célestes l'un par la musique, l'autre par l'écriture afin que nous sachions que nous devrions élever notre taux vibratoire pour comprendre qu'en réalité la haine viscérale que les Leucordemes ont répandu sur la planète en semant le chaos et la désolation était dirigée contre eux-mêmes et que cela était révélateur d'un manque d'harmonie intérieur, d'un conflit titanesque en miroir avec l'image qu'ils ont d'eux-mêmes et de ce qu'ils représentent aux yeux de l'humanité à qui ils doivent réparation pour le préjudice qu'ils ont causé.
Sun Râ portant une tenue brillante reflétant la lumière étoilée à l'image de diamants cosmiques. On retrouve ce style vestimentaire dans le prélude du Film / Album When I Get Home de Solange Knowles et dans le vidéo-clip Find Your Way Back de Beyoncé ©SeftonSamuels
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PRÉCURSEUR INTERGALACTIQUE
©heisch8211
« […] On appelle les musiciens, scientifiques du son et artistes des ondes sonores.» Sun Ra, Un Noir dans le Cosmos; Aurélien Tchiemessom, page 231
Sun Râ connaissait à la perfection la composition de ses notes musicales. Il avait réussi à transposer avec justesse la symphonie céleste dans ses compositions musicales qui demeurent jusqu'à présent étrange pour des mélomanes n'ayant pas réussi à comprendre que son Jazz-Afrofuturiste s'inscrivait dans un continuum cosmique dont il avait les secrets en raison de sa connexion avec le créateur. Les ondes sonores ont des vertues thérapeutiques, il devait très certainement être initié à ce types de savoir comme les Kômians qui utilisent la musique pour guérir l'esprit et le corps des personnes malades qui les sollicitent. Elles sont des expertes en musicothérapie comme le précise Koffi Modeste Armand Goran dans un livre qui leur a été consacré. L'un des rôles des Kômians en tant que Prêtresses/Médiums est de participer à la cohésion et la stabilité dans les sociétés dans lesquelles elles se trouvent.
« Sun Ra nous explique comment il fit la rencontre, sur Saturne, d’êtres de l’espace vêtus de robes – comme les anges et les élus dans les récits de conversion. Ces êtres mystérieux lui ordonnèrent de retourner sur Terre (contre son gré) pour délivrer aux humains un message de paix, d’amour et de musique. » Sun Ra, Un Noir dans le Cosmos; Aurélien Tchiemessom, page 191
Il existe d'autres humanités et les Dogons sont l'un des peuples de katiopa (Afrique) ayant des connaissances astronomiques très avancées et complexes sur la réalité de ces autres humanités avant même la création du télescope et de la NASA. Ils ont aussi affirmé que ces connaissances leur avaient été transmises par des êtres venus de l'espace et du cosmos. Serions-nous des Âmes-Lumières, des Étoiles Cosmiques orginaires de Sirius et de la Constellation d'Orion ? La question demeure, une chose certaine c'est qu'encore une fois Sun Râ le savait en tant que précurseur intergalactique.
« […] Il y a différentes sortes d’êtres, chacun suit sa propre voie et sa propre voix, de même que chaque couleur possède sa propre vibration. Je vois la race en terme de vibration – des rayons, des ondes […] Dans l’ordre des choses, même le moindre de nos frères connaît son jour, et quand vous réalisez la signification de ce jour, vous sentirez alors la présence d’un ange déguisé. » Extrait de Szwed, John F., op.cit., p.313. Sun Ra, Un Noir dans le Cosmos; Aurélien Tchiemessom, pages 127-128.
Certains Êtres sont régit par la Loi des Exceptions au sein des Peuples-Nations Kamites tels que les Gardien-n-es des Portes (Woubi & Yossi), les Ibédji (Jumeaux / Jumelles), les Agué-Yovos (Albinos) parce qu'ils/elles vibrent à une autre fréquence énergétique en raison d'une configuration qui leur est propre. Une création dans la création. Sun Râ encore une fois nous démontre sa clairvoyance et sa capactié extrordinaire à reconnaître l'existence d'autres Êtres complexes venus sur terre pour accomplir leur destinée en fonction du contrat d'âme qu'ils ont signé avant de se réincarner.
Sun Râ ©DavidRedfern
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GARANT DE L'AFROFUTURISME
Sun Râ, 1972 ©JimNewman
« Sun Râ dédiait avant tout sa musique au Créateur du Cosmos, et non aux extra-terrestres comme l’ont pensé certains. Il créait à l’aide de son Jazz Supersonique un bouclier de beauté qui protégeait la Terre de néfastes forces cosmiques, en attendant patiemment que l’humanité se réveille de son lourd sommeil et accède enfin à un état de conscience supérieur. » Sun Ra, Un Noir dans le Cosmos; Aurélien Tchiemessom, page 242
En tant que musicien, il n'était pas à la recherche de la célébrité, il composait ses sons en tenant compte de son inspiration cosmique et de la portée du message intergalactique qu'il devait délivrer à l'humanité. Or, force est de constater que de son vivant et lorsqu'il a franchi les Portes de l'Au-delà sa notoriété a été considérable dans l'industrie musicale (et même en dehors) en faisant de lui le Garant d'un Jazz Afrofuturiste ayant influencé des artistes remarquables comme Janelle Monàe, Beyoncé, Solange Knowles, Lady Gaga, etc ...
« Le nom Arkestra qu’il trouva pour son groupe en 1955 était également le résultat d’un jeu de mot : le préfixe ark- faisait référence à l’arche de Ra (arche se dit ark en anglais), c’est-à-dire à son bateau solaire. Arkestra est également composé du préfixe ar- et du suffixe –ra, qui sont en fait un seul et même mot : Ra. Mais laissons Sun Ra lui-même nous apporter quelques éclaircissement à ce sujet : Il y a un «Ra» au début et à la fin de Arkestra. Ra peut s’écrire «Ar» ou «Ra» et aux deux extrémités du mot on trouve une équation : le premier et le dernier sont égaux […] C’est l’équilibre phonétique. Au milieu, il y a «kest», qui équivaut à «kist», comme dans «Sunkist», et au début je l’écrivais «Arkistra». J’ai lu qu’en Sanskrit, «kist» signifie «rayon de soleil». C’est pour ça que j’ai appelé mon orchestre «Arkestra». En plus, c’est comme ça que les Noirs prononcent le mot «Orchestra». » Sun Ra, Un Noir dans le Cosmos; Aurélien Tchiemessom, Note 203 à la page 184
Vous constatez que Sun Râ était d'une précision analytique remarquable autant dans sa musique que dans la symbolique du nom qu'il s'est attribué. Sun Râ = Soleil en anglais; Dieu Solaire à Kemet. On pourrait donc dire que Sun Râ portait le nom suivant : Double Divinité Solaire. Les noms que nous nous donnons ont une portée cosmique au delà ce que nous pourrions nous imaginer. En faisant un parallèle avec mon nom Kugaruka et la façon minitieuse dont je sélectionne les titres de mes articles / vidéos, je trouve assez étrange la façon dont comme lui je tiens compte de l'équilibre phonétique, de la vibration sonore du mot/nom, sa signification profonde, sa symbolique ainsi que de sa résonnance auditive.
« […] le concept était d’offrir à l’humanité les clefs de la connaissance cosmique en passant par toutes sortes de médias : la musique, la poésie, les livres, les films, la science [...] les statuts de la corporation […] Pour faire des recherches spirituelles-cosmiques intergalactiques-infinies relatives aux mondes-dimensions-plans d’existence dans les galaxies et les univers, au-delà de l’imagination actuelle de l’humanité, au-delà du soleil intergalactique central, et accomplir des travaux relatifs à la spiritualité et à l’avancement spirituel de notre monde actuellement connu. Pour éveiller la conscience spirituelle de l’humanité en la remettant au contact de son «Créateur». Pour faire en sorte que l’humanité soit consciente du fait qu’il y a d’autres êtres supérieurs […] sur d’autres planètes, dans d’autres galaxies. Pour faire en sorte que l’humanité soit consciente du fait que le «Créateur» (Dieu) est ici et maintenant et qu’il est aussi présent dans d’autres mondes-galaxies. Pour aider à éradiquer (détruire) l’ignorance en détruisant son objectif principal, en changeant l’ignorance en progrès-créatif. Pour se servir de ces valeurs spirituelles-cosmiques pour l’avancement des peuples de la Terre et les êtres vivants créatifs de cette galaxie et des galaxies au-delà du soleil central intergalactique. Pour établir des maisons régénératrices d’énergie spirituelle (des Églises) où les gens peuvent venir recharger leur énergie spirituelle et rechercher leur «Créateur naturel» (Dieu). Pour accomplir les travaux que le Créateur (Dieu) nous a demandé à nous, «Ihnfinity», d’accomplir. » Sun Ra, Un Noir dans le Cosmos; Aurélien Tchiemessom, page 240-241
Sun Râ était l'un des réceptables du Créateur en tant que Visionnaire Cosmique, Précurseur Intergalactique et Garant de l'Afrofuturisme. Il officiait en tant que Oracles & Messagères Cosmiques. Il savait que l'univers dans son incommensurable complexité avait une façon particulière de communiquer avec nous afin que nous soyons éveillés à l'existence d'Êtres Interstellaires qui se sont incarné-e-s en tant qu'Avatar pour faire Triompher la Lumière des Tènèbres.
La Philosophie Cosmique de Sun Râ
RÉFÉRENCES
Ouvrage
Aurélien, TCHIEMESSOM., Sun Râ, Un Noir dans le Cosmos, 01 Avril 2005, L'Harmattan, 273p.
Article
Sun Ra., https://www.anothermanmag.com/life-culture/gallery/8965/sun-ra/0, En Ligne, 2021
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